@rahmanagungsaputra: terkadang aku ingin membaca ulang lembaran buku yang lama saat kita baru menjalani hubungan ini karena di situ lah ada part" yang saling gengam dan saling takut kehilangan💔#selatanorangstyle #pagarnusastory #tulungagung24jam #fyp

PUTRA PATAH_HATI💔
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Monday 19 May 2025 12:11:43 GMT
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bang.piqoy
Bang Piqoy🥀 :
Laki-laki yang di tinggal kan oleh orang yang iya cintai pasti akan memilih bersama temen” nya 🥰🥷🏻💥
2025-05-19 12:23:41
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Ici, au nord de la Martinique, se dresse la Montagne Pelée. Un volcan mondialement connu, qui a donné naissance à un mot : le mot “péléen.” Ce mot, utilisé par les scientifiques du monde entier, vient d’une tragédie. Celle du 8 mai 1902, lorsque la Montagne Pelée a détruit la ville de Saint-Pierre en quelques minutes seulement. Près de trente mille personnes ont péri dans une nuée ardente, un nuage brûlant de gaz et de cendres, descendu à plus de cinq cents kilomètres à l’heure. À l’époque, personne ne connaissait ce phénomène. C’est ici, en Martinique, que le monde allait le découvrir. Quelques semaines plus tard, un scientifique français arrive sur l’île. Son nom : Alfred Lacroix. Géologue, minéralogiste, et passionné de volcans. Il observe la Pelée. Il mesure. Il prélève. Il compare. Et il comprend : ce volcan est différent. Dans son livre publié en 1904, intitulé “La Montagne Pelée et ses éruptions”, il décrit un nouveau type d’éruption volcanique. Il l’appelle : une éruption péléenne. En hommage à ce volcan martiniquais, aussi fascinant que redoutable. Une éruption péléenne, c’est une éruption explosive, mais silencieuse au départ. Une lave très visqueuse monte lentement. Elle forme un dôme, un bouchon de roche au sommet. Et quand la pression devient trop forte, le bouchon cède. Tout explose. Des nuées ardentes se précipitent sur les pentes du volcan, brûlant tout sur leur passage. Ce phénomène, observé ici pour la première fois, a marqué l’histoire mondiale de la volcanologie. Aujourd’hui encore, dans toutes les universités du monde, on enseigne le mot “péléen.” De Tokyo à Naples, de San Francisco à Reykjavik, il rappelle l’origine d’un savoir né ici, en Martinique. La Montagne Pelée, c’est bien plus qu’un volcan. C’est une mémoire. Une leçon. Un symbole. Un volcan qui a transformé une tragédie en connaissance pour l’humanité. Et même endormie, la Pelée parle encore. Elle respire. Elle veille. Sous la surveillance constante de l’Observatoire Volcanologique de la Martinique, rattaché à l’Institut de Physique du Globe de Paris. Car ici, chaque souffle, chaque gaz, chaque micro-secousse, raconte quelque chose. La Montagne Pelée ne dort pas. Elle vit. Et son nom, devenu adjectif, résonne à jamais dans l’histoire du monde scientifique. Relais Populaire — au cœur de notre île, pour comprendre le souffle vivant de la Montagne Pelée.#martinique
Ici, au nord de la Martinique, se dresse la Montagne Pelée. Un volcan mondialement connu, qui a donné naissance à un mot : le mot “péléen.” Ce mot, utilisé par les scientifiques du monde entier, vient d’une tragédie. Celle du 8 mai 1902, lorsque la Montagne Pelée a détruit la ville de Saint-Pierre en quelques minutes seulement. Près de trente mille personnes ont péri dans une nuée ardente, un nuage brûlant de gaz et de cendres, descendu à plus de cinq cents kilomètres à l’heure. À l’époque, personne ne connaissait ce phénomène. C’est ici, en Martinique, que le monde allait le découvrir. Quelques semaines plus tard, un scientifique français arrive sur l’île. Son nom : Alfred Lacroix. Géologue, minéralogiste, et passionné de volcans. Il observe la Pelée. Il mesure. Il prélève. Il compare. Et il comprend : ce volcan est différent. Dans son livre publié en 1904, intitulé “La Montagne Pelée et ses éruptions”, il décrit un nouveau type d’éruption volcanique. Il l’appelle : une éruption péléenne. En hommage à ce volcan martiniquais, aussi fascinant que redoutable. Une éruption péléenne, c’est une éruption explosive, mais silencieuse au départ. Une lave très visqueuse monte lentement. Elle forme un dôme, un bouchon de roche au sommet. Et quand la pression devient trop forte, le bouchon cède. Tout explose. Des nuées ardentes se précipitent sur les pentes du volcan, brûlant tout sur leur passage. Ce phénomène, observé ici pour la première fois, a marqué l’histoire mondiale de la volcanologie. Aujourd’hui encore, dans toutes les universités du monde, on enseigne le mot “péléen.” De Tokyo à Naples, de San Francisco à Reykjavik, il rappelle l’origine d’un savoir né ici, en Martinique. La Montagne Pelée, c’est bien plus qu’un volcan. C’est une mémoire. Une leçon. Un symbole. Un volcan qui a transformé une tragédie en connaissance pour l’humanité. Et même endormie, la Pelée parle encore. Elle respire. Elle veille. Sous la surveillance constante de l’Observatoire Volcanologique de la Martinique, rattaché à l’Institut de Physique du Globe de Paris. Car ici, chaque souffle, chaque gaz, chaque micro-secousse, raconte quelque chose. La Montagne Pelée ne dort pas. Elle vit. Et son nom, devenu adjectif, résonne à jamais dans l’histoire du monde scientifique. Relais Populaire — au cœur de notre île, pour comprendre le souffle vivant de la Montagne Pelée.#martinique

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