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ahmad.edo82
Ahmad Edo :
semoga aja d polbek
2025-08-12 13:28:04
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Ouverture de frontière avec le Mali.  1. Accès aux pâturages et à l’eau La frontière Mali–Mauritanie traverse de vastes zones sahélo-sahariennes où les ressources en eau et en herbe sont limitées. Les éleveurs mauritaniens veulent garantir l’accès traditionnel à ces pâturages, souvent utilisés depuis des générations, et craignent que les restrictions de mouvements ou les contrôles frontaliers les empêchent de nourrir leur bétail. 2. Trafic et droits de passage Ils dénoncent parfois le harcèlement ou les amendes imposées par les autorités maliennes ou les forces de sécurité pour franchir la frontière avec leurs troupeaux. Pour eux, ces passages sont vitaux pour la survie économique de leurs familles. 3. Sécurité et banditisme Les zones frontalières étant peu contrôlées, les éleveurs sont exposés aux attaques de bandits, de groupes armés ou de conflits avec d’autres communautés pastorales. Ils réclament une meilleure sécurité de part et d’autre de la frontière. 4. Poids politique et médiatique Leur mobilisation fait pression sur Nouakchott et Bamako : si les éleveurs se plaignent trop fort ou organisent des mouvements de troupeaux, cela peut générer une crise diplomatique. Les médias locaux relayent souvent leurs revendications, amplifiant ainsi la tension frontalière. En résumé : Les éleveurs mauritaniens ne crient pas « pour rien » — ils défendent leur survie économique et culturelle. Et tant que la frontière reste rigide et la sécurité fragile, ces tensions continueront à se manifester, parfois de manière très visible. #frontiereMalifermée #videoviral #tiktokviral #eleveursmauritaniens #menacessurpaturage
Ouverture de frontière avec le Mali. 1. Accès aux pâturages et à l’eau La frontière Mali–Mauritanie traverse de vastes zones sahélo-sahariennes où les ressources en eau et en herbe sont limitées. Les éleveurs mauritaniens veulent garantir l’accès traditionnel à ces pâturages, souvent utilisés depuis des générations, et craignent que les restrictions de mouvements ou les contrôles frontaliers les empêchent de nourrir leur bétail. 2. Trafic et droits de passage Ils dénoncent parfois le harcèlement ou les amendes imposées par les autorités maliennes ou les forces de sécurité pour franchir la frontière avec leurs troupeaux. Pour eux, ces passages sont vitaux pour la survie économique de leurs familles. 3. Sécurité et banditisme Les zones frontalières étant peu contrôlées, les éleveurs sont exposés aux attaques de bandits, de groupes armés ou de conflits avec d’autres communautés pastorales. Ils réclament une meilleure sécurité de part et d’autre de la frontière. 4. Poids politique et médiatique Leur mobilisation fait pression sur Nouakchott et Bamako : si les éleveurs se plaignent trop fort ou organisent des mouvements de troupeaux, cela peut générer une crise diplomatique. Les médias locaux relayent souvent leurs revendications, amplifiant ainsi la tension frontalière. En résumé : Les éleveurs mauritaniens ne crient pas « pour rien » — ils défendent leur survie économique et culturelle. Et tant que la frontière reste rigide et la sécurité fragile, ces tensions continueront à se manifester, parfois de manière très visible. #frontiereMalifermée #videoviral #tiktokviral #eleveursmauritaniens #menacessurpaturage

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