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Irmak
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Ela_girgin :
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mrtarpgrl5844 :
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mars72752
mars727 :
tik tok videoların süper çok başarılısın tkpp edermisin
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Amir Oak :
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1maraaa3 :
Snapchat kullanıyor musun ya
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2025-09-14 03:20:49
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esilaornay
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jos.marques8637
José Marques :
❤️
2025-09-05 20:57:40
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Le Directeur général de la Société nationale des habitations à loyer modéré (SN HLM), Bassirou Kébé, a tenu à clarifier les responsabilités de l’État dans l’affaire Madiambal Diagne, au cours d’une émission diffusée en direct sur la RTS. Interpellé par le journaliste Oumar Gningue sur la gestion de ce dossier sensible, le haut fonctionnaire a apporté une réponse ferme et sans détour. Tout est parti d’une question du journaliste sur la situation actuelle du patron du groupe Avenir Communication, actuellement en France, et sur la manière dont les autorités gèrent cette affaire. « Aujourd’hui, la gestion de cette affaire-là. Est-ce que finalement, vous ne le mettez pas dans une position confortable lui, actuellement, qui est en France ? », a lancé Oumar Gningue. Sans se laisser déstabiliser, Bassirou Kébé a tenu à rappeler les principes d’un État de droit et le rôle limité de l’exécutif dans une procédure judiciaire : « Je pense que quand vous vous adressez à nous, j’espère que vous vous adressez à la justice, parce que ça, c’est une affaire totalement judiciaire. Vous savez, dans un État de droit, le pouvoir exécutif, la puissance publique, est soumise à la loi. » Visiblement agacé par les amalgames entre justice et solidarité corporatiste, Bassirou Kébé a interpellé directement son interlocuteur : « Est-ce qu’aujourd’hui, Monsieur Gningue, si un journaliste sort tout de suite dans la rue, commet un crime, est-ce que toute la presse va se réunir pour dire qu’on le soutient parce que c’est un journaliste ? Non. C’est un crime, c’est un citoyen comme un autre, et il doit répondre devant la justice. » Pour le DG, il ne fait aucun doute que l’État du Sénégal doit laisser la justice suivre son cours jusqu’au bout, sans interférence ni pression politique ou médiatique. « Cela n’a rien à voir avec nous. C’est la justice qui fait son travail, et l’État du Sénégal laissera la justice faire son travail jusqu’au bout », a-t-il conclu, mettant fin au débat. C’est une mise au point ferme donc du responsable public a eu l’effet d’un recadrage net à l’endroit du journaliste, rappelant la séparation des pouvoirs et la nécessité de ne pas politiser ou médiatiser à outrance des procédures judiciaires en cours.
Le Directeur général de la Société nationale des habitations à loyer modéré (SN HLM), Bassirou Kébé, a tenu à clarifier les responsabilités de l’État dans l’affaire Madiambal Diagne, au cours d’une émission diffusée en direct sur la RTS. Interpellé par le journaliste Oumar Gningue sur la gestion de ce dossier sensible, le haut fonctionnaire a apporté une réponse ferme et sans détour. Tout est parti d’une question du journaliste sur la situation actuelle du patron du groupe Avenir Communication, actuellement en France, et sur la manière dont les autorités gèrent cette affaire. « Aujourd’hui, la gestion de cette affaire-là. Est-ce que finalement, vous ne le mettez pas dans une position confortable lui, actuellement, qui est en France ? », a lancé Oumar Gningue. Sans se laisser déstabiliser, Bassirou Kébé a tenu à rappeler les principes d’un État de droit et le rôle limité de l’exécutif dans une procédure judiciaire : « Je pense que quand vous vous adressez à nous, j’espère que vous vous adressez à la justice, parce que ça, c’est une affaire totalement judiciaire. Vous savez, dans un État de droit, le pouvoir exécutif, la puissance publique, est soumise à la loi. » Visiblement agacé par les amalgames entre justice et solidarité corporatiste, Bassirou Kébé a interpellé directement son interlocuteur : « Est-ce qu’aujourd’hui, Monsieur Gningue, si un journaliste sort tout de suite dans la rue, commet un crime, est-ce que toute la presse va se réunir pour dire qu’on le soutient parce que c’est un journaliste ? Non. C’est un crime, c’est un citoyen comme un autre, et il doit répondre devant la justice. » Pour le DG, il ne fait aucun doute que l’État du Sénégal doit laisser la justice suivre son cours jusqu’au bout, sans interférence ni pression politique ou médiatique. « Cela n’a rien à voir avec nous. C’est la justice qui fait son travail, et l’État du Sénégal laissera la justice faire son travail jusqu’au bout », a-t-il conclu, mettant fin au débat. C’est une mise au point ferme donc du responsable public a eu l’effet d’un recadrage net à l’endroit du journaliste, rappelant la séparation des pouvoirs et la nécessité de ne pas politiser ou médiatiser à outrance des procédures judiciaires en cours.

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