@entryhome.sa: اناقه الازرق💙💙#اكسبلور #مباخر #ضيافه #تنسيقات

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Thursday 18 September 2025 15:28:43 GMT

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Comments

شروق :

التوصيل لجده كم ياخذ ؟؟

2025-10-12 19:51:33

1

Mm :

بنات اعواد العطور لو خليتها في المجلس احطها دائما في العطر ولا اذا عندي مناسبه!؟

2025-09-26 14:58:28

0

🌹🌹🌹🌹 :

تجننن الشموع

2025-09-19 05:12:51

1

♥️ :

الشمعه الكبيره مو موجوده بالموقع

2025-09-22 18:11:42

0

✧ دعوات إلكترونيه ✧ :

يشرفنا نكون جزء من مناسباتكم💘

2025-09-19 11:07:07

0

M..🌷 :

😳😳😳

2025-09-18 20:42:10

2

R. :

😁😁😁

2025-09-25 02:47:15

0

tr_kitchen :

🌺🌺🌺🌺

2025-09-20 17:56:02

0

user588 :

🌹🌹🌹

2025-09-19 10:27:43

0

KHULOOD :

ثلاجة القهوه من وين ؟ مالقيتها بالموقع

2025-09-18 20:25:37

5

z :

من وين الدفيوزر؟

2025-09-18 19:23:45

5

مجهول :

الثلاجة من وين

2025-09-19 03:12:30

0

AMAL⚜️ :

الشموع من وين

2025-09-22 09:06:37

1

danoo_1617 :

وين فصلتي الطاوله ي حلوه ؟

2025-10-06 20:39:33

0

Modhi 🤍. :

من وين فازت الورد صغيره

2025-09-20 14:31:21

0

m :

الصنيه من وين

2025-09-18 22:03:22

4

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#typ ma ne te got evidar mi wey dilbera min

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#تصويري#تركيا #بورصا #fyp #❤️‍🔥

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Je ne pensais pas que cette soirée deviendrait un souvenir que j’aurais du mal à oublier. C’était juste un match. Du bruit, des lumières, une foule trop grande. Et puis il y a eu ce regard. Le sien. Court, précis, presque comme s’il savait déjà que j’allais le remarquer. Plus tard, je l’ai croisé dans le couloir du stade. Il m’a parlé, naturellement, comme s’il me connaissait depuis toujours. Je ne me souviens plus exactement de ses mots, juste du ton. Sûr de lui. Trop sûr. Avant de partir, il m’a demandé mon contact. Un simple geste, banal en apparence. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’ai donné. La nuit même, son message est arrivé. “Tu m’as marqué.” Puis une autre phrase. Et encore une. Trop de confiance, trop vite. Comme si chaque mot était une porte qu’il essayait d’ouvrir. Au début, j’ai répondu poliment. Puis il a commencé à réagir à tout. Mes photos, mes stories, même mes silences. Toujours avec ce ton étrange, entre charme et insistance. Et puis, sans prévenir : “Je peux venir chez toi ce soir ? Je suis dans ton coin.” Je l’ai relu plusieurs fois. Il n’y avait rien de drôle, rien d’hésitant dans sa phrase. Juste cette impression qu’il avait l’habitude d’obtenir ce qu’il voulait. Pendant quelques secondes, j’ai hésité. Mon cœur battait vite, pas de peur, mais d’instinct. Quelque chose sonnait faux. Je n’ai pas répondu. Je l’ai laissé attendre, laisser le silence faire le travail. Il a renvoyé un dernier message, plus sec : “Tu fais genre, mais t’aimes ça qu’on te parle.” C’est là que j’ai su. Je l’ai bloqué, calmement. Et pourtant, cette nuit-là, j’ai mis du temps à dormir. Pas parce que j’avais peur, mais parce que je venais de comprendre que parfois, le danger n’a pas besoin de frapper à ta porte. Il te sourit d’abord, poliment, juste assez pour que tu ouvres.

Je ne pensais pas que cette soirée deviendrait un souvenir que j’aurais du mal à oublier. C’était juste un match. Du bruit, des lumières, une foule trop grande. Et puis il y a eu ce regard. Le sien. Court, précis, presque comme s’il savait déjà que j’allais le remarquer. Plus tard, je l’ai croisé dans le couloir du stade. Il m’a parlé, naturellement, comme s’il me connaissait depuis toujours. Je ne me souviens plus exactement de ses mots, juste du ton. Sûr de lui. Trop sûr. Avant de partir, il m’a demandé mon contact. Un simple geste, banal en apparence. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’ai donné. La nuit même, son message est arrivé. “Tu m’as marqué.” Puis une autre phrase. Et encore une. Trop de confiance, trop vite. Comme si chaque mot était une porte qu’il essayait d’ouvrir. Au début, j’ai répondu poliment. Puis il a commencé à réagir à tout. Mes photos, mes stories, même mes silences. Toujours avec ce ton étrange, entre charme et insistance. Et puis, sans prévenir : “Je peux venir chez toi ce soir ? Je suis dans ton coin.” Je l’ai relu plusieurs fois. Il n’y avait rien de drôle, rien d’hésitant dans sa phrase. Juste cette impression qu’il avait l’habitude d’obtenir ce qu’il voulait. Pendant quelques secondes, j’ai hésité. Mon cœur battait vite, pas de peur, mais d’instinct. Quelque chose sonnait faux. Je n’ai pas répondu. Je l’ai laissé attendre, laisser le silence faire le travail. Il a renvoyé un dernier message, plus sec : “Tu fais genre, mais t’aimes ça qu’on te parle.” C’est là que j’ai su. Je l’ai bloqué, calmement. Et pourtant, cette nuit-là, j’ai mis du temps à dormir. Pas parce que j’avais peur, mais parce que je venais de comprendre que parfois, le danger n’a pas besoin de frapper à ta porte. Il te sourit d’abord, poliment, juste assez pour que tu ouvres.

ohh yeahhh 😝 #monke #gorillatag #metaquest #cartzz #anotheraxiom

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