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@rehan_ullah09:
Rehan ullah 786
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Tuesday 30 September 2025 16:07:44 GMT
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Parisian Train in Gare La Défense. Paris #parisexplore #paris #paris©®
Pepe Kalle (de son vrai nom Jean-Baptiste Kabasele Yampanya wa ba Mulanga), né le 30 novembre 1951 à Kinshasa et mort le 29 novembre 1998 dans la même ville, est un chanteur congolais. Jean-Baptiste Kabasele Yampanya wa ba Mulanga, alias Pepe Kalle, est né à Kinshasa le 30 novembre 1951. Fils de papa Angbando et de maman Mbula, il est l’aîné d’une famille de quinze enfants, dont huit garçons. D'abord apprécié à la chorale de l'église, sa voix se révèle en 1969 au sein de l'orchestre Bamboula, dont le style s'inscrit dans la lignée de l'African Fiesta de Rochereau. Mais c'est Verkys, célèbre saxophoniste de l'OK Jazz de Franco et grand découvreur de jeunes talents, qui saura mettre en valeur les qualités de chanteur de Pepe Kalle au sein de son groupe Vévé (véritable pépinière de musiciens) et d'une de ses formations satellites Lipwa Lipwa. En 1972, toujours au sein de « l'écurie Vévé », Pepe Kalle participe à la fondation du groupe Bella Bella mené par les frères Maxime et Émile Soki, qu'il va quitter rapidement pour créer son propre ensemble, Empire Bakuba, avec Dilu Dilumoma et Papy Tex Matolu[1]. Ce trio vocal a connu une longévité exceptionnelle (plus d'un quart de siècle) dans un environnement où la dislocation des orchestres semble être la règle. Il est aussi celui qui imposa dans le soukouss ce style d'harmonieuses polyphonies interprétées par des solistes à la justesse phénoménale[non neutre À partir de 1973, le succès remporté par Pepe Kalle et Empire Bakuba avec Nazoki ne se dément plus[1]. De 1975 à 1977, ils visitent les pays alentour et propagent une nouvelle danse, le masasi calculé. Dans les années 1980, alors que le groupe commence à étendre le rayon de ses tournées au-delà du continent, les prestations d'Empire Bakuba se font de plus en plus spectaculaires. Adoptant les tenues des sapeurs, les artistes jouent la carte de l'extravagance jusqu'à la limite du grand guignol. Le fameux « Bakuba Show » fonctionne essentiellement sur le contraste entre la stature gigantesque de Pepe Kalle et le jeu facétieux d'ambianceurs nains : Emoro, le plus célèbre d'entre eux (mort en 1992), Joli Bébé, Dokolos et Dominique Mabwa. Une veine particulièrement exploitée avec l'album Bombe Atomique. Les chansons de Pepe Kalle s'adressent directement au peuple dans un langage accessible[réf. souhaitée] (L'argent ne fait pas le bonheur, Dieu seul sait, Simplicité…) . Dans la tradition d'un Franco, il s'illustre aussi avec des textes à double sens évoquant, non sans une certaine ironie corrosive, les difficultés de la vie quotidienne de ses compatriotes. Écrite en 1985, sa chanson Article 15, beta libanga, sera son plus grand succès[réf. souhaitée]. Elle rappelle le conseil cynique de « s'en remettre à l'article 15 » que Mobutu avait donné à ses administrés lors d'une de ses allocutions : « Qu'on soit jeune ou vieux / On est tous en face d'une même réalité : la vie difficile / Le cauchemar quotidien / Que faire, sinon se référer à l'Article 15 / « Débrouillez-vous Pepe Kalle s'installe ensuite à Paris en 1985. En compagnie de son vieil ami Nyboma (qu'il apprécie depuis l'époque où ils chantaient ensemble dans Bella Bella) et sous la houlette du producteur Ibrahima Sylla, Pepe Kalle s'intéresse au public antillais avec Zouke Zouke puis Moyibi, qui le rend célèbre dans toute la Caraïbe en 1987. Deux autres albums « soukouzouk » mais cette fois en solo, Pou moun pa ka bougé et Tiembe raid pa moli, respectivement parus en 1989 et 1990, font mouche dans toute l'Afrique francophone[réf. souhaité Avec Gérant en 1991, Pépé Kalle renoue avec le label Syllart et une équipe de studio « parisienne »Et décéde le 29 novembre 1998 Kinshasa, REST IN PEACE 😭 GRAND ARTISTE AFRICAIN 😭
Yeay ringtone baruu yuhuuuu #nct #nct2021 #nctok #ringtonenct #nctphone ib : @alyakhaizure
شايف التشطيب 😂😂
Feeling better already #arab #ArabTikTok
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