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Cevi Yamaha Permata Indramayu
Cevi Yamaha Permata Indramayu
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Monday 17 November 2025 00:41:05 GMT
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vivin_mua1100
Vivin_MUA :
Berapa ya harganya😂
2025-11-24 08:19:31
1
betalaktam
Betalaktam :
🔥
2025-11-22 14:07:27
2
yen.n111
Yni :
Tunggu yaa nabung dulu 😭
2025-12-02 05:15:19
1
dian.bagus19
Dian Bagus :
kak saya ngajuin di permata indramayu...lewat baff...katanya udah acc leasing setempat...tp masih harus nunggu telfon dr baff pusat....itu kemungkinan berapa %acc nya kak?
2025-11-18 05:13:26
1
broryann
Ryan Yamaha Pelaihari :
gantengnya nmax 🔥🔥🔥
2025-11-25 09:43:07
1
khaerrrrrrrr
Papa sibuk :
😁
2025-11-28 06:14:55
1
norita_cendika
Norita Sanjaya :
ini yg pake kunci KK atau paket remot
2025-11-19 22:57:55
1
rikanurjanah663
rikanurjanah663 :
ya allah idaman banget.. di sholawat ini aja dulu🤲🤲🤲
2025-11-18 01:31:24
4
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Episode 15 - Le mors est ce une source de douleur pour les chevaux ? Bienvenu dans l’épisode 15 de la série informe toi Pour l’histoire, Le mors est un outil de communication et d’éducation utilisé par l’humain depuis plus de 5 000 ans, les premières traces remontent aux civilisations mésopotamiennes, autour de 3000 av. J.-C. À l’origine, il servait surtout à contrôler la puissance des chevaux de guerre et de travail. Au fil des siècles, son usage s’est affiné, esthétisé, industrialisé… jusqu’à devenir un symbole indissociable de l’équitation moderne. Mais aujourd’hui, une question se pose : et si, après cinq millénaires, il était temps d’en repenser son  utilisation ? Pour commencer parlons anatomie 
Parce que pour comprendre l’impact du mors, il faut d’abord comprendre où il agit, et sur quoi. 
La bouche du cheval n’est pas un simple point de contact : c’est une zone très innervée (branches du nerf trijumeau), très vascularisée et recouverte d’une muqueuse fine : barres mandibulaires, langue, commissures des lèvres. Quand on observe ces zones après travail avec mors, plusieurs études retrouvent des lésions typiques : Des Ulcères muqueux fréquents, des lésions, et périostites des barres. Ce sont trois indices concordants d’un impact lésionnel du mors. Autrement dit, là où le mors appuie, on retrouve de façon récurrente ulcérations des tissus mous et remaniements osseux compatibles avec des pressions répétées. C’est notre point de départ anatomique pour répondre à notre question. Mais maintenant qu’on sait ça, une question se pose naturellement : pourquoi mon cheval réagit-il si peu quand j’utilise un mors ? D’abord parce que le cheval est un animal proie : il montre peu la douleur. Ses signaux sont souvent discrets 
Ensuite,il y a deux phénomènes bien connus en éthologie et en neurosciences : l’habituation et la résignation apprise : à force d’être exposé sans échappatoire clair, le cheval réduit son expression, pas forcément sa douleur. 
À cela s’ajoute la désensibilisation locale : des muqueuses irritées, des zones kératinisées, des micro-traumatismes des barres peuvent diminuer la sensibilité apparente, tout en restant douloureux à la pression. 
Enfin, le conditionnement joue : le cheval apprend à chercher le relâcher. Il obéit, non pas toujours parce qu’il comprend, mais souvent parce qu’il anticipe la fin d’une gêne. Dans une étude menée pendant six ans par Cook & Kibler en 2018, les chercheurs ont observé 66 chevaux et interrogé plus de 600 cavaliers. Résultat : 65 chevaux sur 66 montraient des signes d’inconfort ou de douleur avec un mors Et pourtant, une fois le mors retiré, 61 chevaux ne montraient plus aucun de ces signaux. Ce que montre cette étude, c’est que le cheval ne s’oppose pas toujours à la douleur.
Parfois, il s’y adapte, ou plutôt il s’y résigne. Maintenant qu’on a vu où agit le mors, il faut comprendre comment il agit.
Parce que son effet ne se limite pas à la bouche. 
Quand on agit sur le mors, c’est en réalité tout le corps du cheval qui réagit. Tout part d’une zone clé :
l’articulation temporo-mandibulaire, 
À chaque mouvement du mors, cette articulation est mise en tension,
et cette tension se transmet directement à tout le système de l’appareil hyoïdien,
une structure osseuse et musculaire qui relie la langue, la gorge, la nuque et… jusque dans le dos du cheval. C’est ce qu’ont montré plusieurs études biomécaniques, notamment celles de Hilary Clayton 
Ses mesures précises démontrent que la tension sur les rênes modifie les angles cervicaux et la mobilité de la mâchoire,
réduisant la liberté du mouvement de l’encolure et impactant la régularité du dos.
Plus la main est instable ou la tension forte, plus le cheval compense ailleurs souvent dans le garrot, le dos ou les postérieurs. De leur côté, Quick & Warren-Smith (2009) ont observé que les chevaux réagissaient différemment lorsqu’ils travaillaient sans mors.
Ils montraient moins de tension, un rythme cardiaque plus stable, et u
Episode 15 - Le mors est ce une source de douleur pour les chevaux ? Bienvenu dans l’épisode 15 de la série informe toi Pour l’histoire, Le mors est un outil de communication et d’éducation utilisé par l’humain depuis plus de 5 000 ans, les premières traces remontent aux civilisations mésopotamiennes, autour de 3000 av. J.-C. À l’origine, il servait surtout à contrôler la puissance des chevaux de guerre et de travail. Au fil des siècles, son usage s’est affiné, esthétisé, industrialisé… jusqu’à devenir un symbole indissociable de l’équitation moderne. Mais aujourd’hui, une question se pose : et si, après cinq millénaires, il était temps d’en repenser son utilisation ? Pour commencer parlons anatomie 
Parce que pour comprendre l’impact du mors, il faut d’abord comprendre où il agit, et sur quoi. 
La bouche du cheval n’est pas un simple point de contact : c’est une zone très innervée (branches du nerf trijumeau), très vascularisée et recouverte d’une muqueuse fine : barres mandibulaires, langue, commissures des lèvres. Quand on observe ces zones après travail avec mors, plusieurs études retrouvent des lésions typiques : Des Ulcères muqueux fréquents, des lésions, et périostites des barres. Ce sont trois indices concordants d’un impact lésionnel du mors. Autrement dit, là où le mors appuie, on retrouve de façon récurrente ulcérations des tissus mous et remaniements osseux compatibles avec des pressions répétées. C’est notre point de départ anatomique pour répondre à notre question. Mais maintenant qu’on sait ça, une question se pose naturellement : pourquoi mon cheval réagit-il si peu quand j’utilise un mors ? D’abord parce que le cheval est un animal proie : il montre peu la douleur. Ses signaux sont souvent discrets 
Ensuite,il y a deux phénomènes bien connus en éthologie et en neurosciences : l’habituation et la résignation apprise : à force d’être exposé sans échappatoire clair, le cheval réduit son expression, pas forcément sa douleur. 
À cela s’ajoute la désensibilisation locale : des muqueuses irritées, des zones kératinisées, des micro-traumatismes des barres peuvent diminuer la sensibilité apparente, tout en restant douloureux à la pression. 
Enfin, le conditionnement joue : le cheval apprend à chercher le relâcher. Il obéit, non pas toujours parce qu’il comprend, mais souvent parce qu’il anticipe la fin d’une gêne. Dans une étude menée pendant six ans par Cook & Kibler en 2018, les chercheurs ont observé 66 chevaux et interrogé plus de 600 cavaliers. Résultat : 65 chevaux sur 66 montraient des signes d’inconfort ou de douleur avec un mors Et pourtant, une fois le mors retiré, 61 chevaux ne montraient plus aucun de ces signaux. Ce que montre cette étude, c’est que le cheval ne s’oppose pas toujours à la douleur.
Parfois, il s’y adapte, ou plutôt il s’y résigne. Maintenant qu’on a vu où agit le mors, il faut comprendre comment il agit.
Parce que son effet ne se limite pas à la bouche. 
Quand on agit sur le mors, c’est en réalité tout le corps du cheval qui réagit. Tout part d’une zone clé :
l’articulation temporo-mandibulaire, 
À chaque mouvement du mors, cette articulation est mise en tension,
et cette tension se transmet directement à tout le système de l’appareil hyoïdien,
une structure osseuse et musculaire qui relie la langue, la gorge, la nuque et… jusque dans le dos du cheval. C’est ce qu’ont montré plusieurs études biomécaniques, notamment celles de Hilary Clayton 
Ses mesures précises démontrent que la tension sur les rênes modifie les angles cervicaux et la mobilité de la mâchoire,
réduisant la liberté du mouvement de l’encolure et impactant la régularité du dos.
Plus la main est instable ou la tension forte, plus le cheval compense ailleurs souvent dans le garrot, le dos ou les postérieurs. De leur côté, Quick & Warren-Smith (2009) ont observé que les chevaux réagissaient différemment lorsqu’ils travaillaient sans mors.
Ils montraient moins de tension, un rythme cardiaque plus stable, et u

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