@0uiem: مشتاق طبعاً اي مشتاق 😔🫂• #جعفر_الغزال #اغاني #اغاني_عراقيه ##مصمم_فيديوهات🎬🎵 #تصميم_فيديوهات🎶🎤🎬

مصمم فديوات 🎬
مصمم فديوات 🎬
Open In TikTok:
Region: IQ
Friday 21 November 2025 17:30:54 GMT
24965
1671
14
263

Music

Download

Comments

mz1363
لبوه 🐆💞 :
😔💔لا ما مشتاكه بس حسره بكلبي عل سواه بيه
2025-11-21 21:06:17
1
umm_lamar
𝐔𝐦𝐦 𝐋𝐚𝐦𝐚𝐫/ام لمار :
🥺🥺🥺اي والله
2025-11-21 21:36:02
0
hfvgd76
ام براء 🥹🤍 :
@10usef
2025-11-21 20:50:32
1
user47221481009608
عنيده وكلامي ماعيده 👍🤫👌❤️🌹 :
🥺🥺🥺
2025-11-21 23:07:21
0
yasser.raad556
Yasser Raad :
@امان قلبي 💔
2025-11-21 22:55:06
0
yasser.raad556
Yasser Raad :
@امان قلبي
2025-11-21 22:51:58
0
qvmf78
. :
😔😔🔥💔
2025-11-21 22:31:37
0
aazuioplm
دموع لورد🌹🌹 :
😔💔
2025-11-21 21:00:39
0
mahmmdsha
البصري :
💔💔
2025-11-21 20:36:17
0
userubf8l6fdd6
سعد رعد الشويلي :
💔
2025-11-21 20:30:24
0
stickr00
شام🍂 :
🥺🥺🥺
2025-11-21 17:45:04
0
stickr00
شام🍂 :
🥺🥺🥺💐💐💐
2025-11-21 17:44:59
0
To see more videos from user @0uiem, please go to the Tikwm homepage.

Other Videos

Madre Speranza entretenait un lien étroit avec les âmes du Purgatoire. Elle avait même institué une fondation pour que des messes soient célébrées pour ces âmes, connaissant leur souffrance en ce lieu. Pietro Iacopini, son fils spirituel, encore vivant, raconte cet épisode sur les âmes du Purgatoire. « Un jour, je conversais avec le père Gino, directeur spirituel de Madre Speranza, quand la sainte moniale s’approcha de son confesseur et lui dit : “Père, cette nuit le Seigneur m’a dit que demain matin je dois aller immédiatement à Todi pour demander à l’évêque de reconnaître cette chapelle comme Sanctuaire de l’Amour Miséricordieux. Il m’a dit d’agir vite car l’évêque a une tumeur et d’ici peu elle l’emportera. Il ajouta que l’évêque ignore sa maladie, que la tumeur était déjà répandue et que ses jours étaient comptés. Il me dit aussi de rester sereine : l’évêque donnera son approbation et dans le Sanctuaire Je lui donnerai la récompense.” » Le Seigneur avait dit à la Mère que l’évêque mourrait bientôt. Le matin même, Madre Speranza partit avec le père Gino pour Todi. Elle revint rayonnante et nous rapporta ce que l’évêque lui avait dit : « Dimanche je donnerai l’approbation au Sanctuaire. Priez pour moi, car je ne vais pas bien et je ne dors plus la nuit. » La bienheureuse répondit : « Excellence, si vous êtes si mal, rendez-vous à l’hôpital pour un contrôle, soignez-vous et vous irez mieux », mais elle nous confia : « Le Seigneur m’a dit qu’il l’emportera, qu’il doit mourir. Je ne le lui ai pas dit, il serait mort d’un infarctus prématuré. » L’évêque répondit à la Mère qu’il viendrait d’abord à Collevalenza pour l’approbation et qu’il irait à l’hôpital le lundi pour un contrôle. Au contrôle hospitalier, le diagnostic fut le suivant : tumeur répandue dans tout le corps. Il fut décidé de le transférer à l’hôpital de Rome. Le pape Jean XXIII avait été condisciple de l’évêque, et lorsqu’il apprit la grave maladie de son ami il alla lui rendre visite. Durant la visite, ils parlèrent de Madre Speranza. L’évêque lui dit : « J’ai donné l’approbation au Sanctuaire mais je n’ai pas eu le temps d’envoyer tous les dossiers à Rome. » Le pape le rassura : « Tu as bien fait d’approuver le Sanctuaire car, pour moi, Madre Speranza est une grande sainte. Pour ce qui est du Vatican, je m’en occupe, ne t’inquiète pas. » Deux jours après, l’évêque mourut. Deux heures au Purgatoire valent plus que quatre-vingts ans de vie sur la Terre. Dès qu’elle l’apprit, Madre Speranza informa la Curie de faire passer le cercueil par Collevalenza pour la Sainte Messe. Le cercueil arriva à 18h00 et, peu après le début de la messe, Madre Speranza entra en extase. Le Seigneur lui apparut d’abord et lui dit : « Je vais te montrer avec quelle gloire l’évêque entre au paradis parce qu’il a donné l’approbation au premier Sanctuaire de l’Amour Miséricordieux. » Puis le Seigneur disparut et apparut l’évêque dans son corps glorieux. L’évêque lui dit : « Madre Speranza, le Seigneur m’a envoyé vers toi pour te remercier : tu m’as appelé à donner l’approbation au Sanctuaire et le Seigneur en a été très content. Maintenant j’aurai pour l’éternité la gloire du Paradis. Mais je dois te dire qu’avant d’entrer au Paradis j’ai beaucoup souffert au Purgatoire. » La Mère répondit : « Excellence, vous êtes mort hier à Rome ; pourquoi dites-vous avoir tant souffert alors que seulement deux jours se sont écoulés ? » L’évêque répondit : « Le temps de l’au-delà n’est pas le même que celui de la Terre. J’ai beaucoup plus souffert en ces deux jours de Purgatoire que durant quatre-vingts ans de ma vie terrestre, car, quand on meurt, l’âme se présente devant Dieu et, en présence de Dieu, elle ressent une grande honte pour la conduite qu’elle a eue en négligeant le Seigneur. Dites à tous que l’au-delà existe et que, sur la Terre, la chose la plus importante est d’aimer le Seigneur ; tout le reste n’a pas de valeur. » Que ce récit rappelle l’importance de prier pour les défunts, svp. #madresperanza
Madre Speranza entretenait un lien étroit avec les âmes du Purgatoire. Elle avait même institué une fondation pour que des messes soient célébrées pour ces âmes, connaissant leur souffrance en ce lieu. Pietro Iacopini, son fils spirituel, encore vivant, raconte cet épisode sur les âmes du Purgatoire. « Un jour, je conversais avec le père Gino, directeur spirituel de Madre Speranza, quand la sainte moniale s’approcha de son confesseur et lui dit : “Père, cette nuit le Seigneur m’a dit que demain matin je dois aller immédiatement à Todi pour demander à l’évêque de reconnaître cette chapelle comme Sanctuaire de l’Amour Miséricordieux. Il m’a dit d’agir vite car l’évêque a une tumeur et d’ici peu elle l’emportera. Il ajouta que l’évêque ignore sa maladie, que la tumeur était déjà répandue et que ses jours étaient comptés. Il me dit aussi de rester sereine : l’évêque donnera son approbation et dans le Sanctuaire Je lui donnerai la récompense.” » Le Seigneur avait dit à la Mère que l’évêque mourrait bientôt. Le matin même, Madre Speranza partit avec le père Gino pour Todi. Elle revint rayonnante et nous rapporta ce que l’évêque lui avait dit : « Dimanche je donnerai l’approbation au Sanctuaire. Priez pour moi, car je ne vais pas bien et je ne dors plus la nuit. » La bienheureuse répondit : « Excellence, si vous êtes si mal, rendez-vous à l’hôpital pour un contrôle, soignez-vous et vous irez mieux », mais elle nous confia : « Le Seigneur m’a dit qu’il l’emportera, qu’il doit mourir. Je ne le lui ai pas dit, il serait mort d’un infarctus prématuré. » L’évêque répondit à la Mère qu’il viendrait d’abord à Collevalenza pour l’approbation et qu’il irait à l’hôpital le lundi pour un contrôle. Au contrôle hospitalier, le diagnostic fut le suivant : tumeur répandue dans tout le corps. Il fut décidé de le transférer à l’hôpital de Rome. Le pape Jean XXIII avait été condisciple de l’évêque, et lorsqu’il apprit la grave maladie de son ami il alla lui rendre visite. Durant la visite, ils parlèrent de Madre Speranza. L’évêque lui dit : « J’ai donné l’approbation au Sanctuaire mais je n’ai pas eu le temps d’envoyer tous les dossiers à Rome. » Le pape le rassura : « Tu as bien fait d’approuver le Sanctuaire car, pour moi, Madre Speranza est une grande sainte. Pour ce qui est du Vatican, je m’en occupe, ne t’inquiète pas. » Deux jours après, l’évêque mourut. Deux heures au Purgatoire valent plus que quatre-vingts ans de vie sur la Terre. Dès qu’elle l’apprit, Madre Speranza informa la Curie de faire passer le cercueil par Collevalenza pour la Sainte Messe. Le cercueil arriva à 18h00 et, peu après le début de la messe, Madre Speranza entra en extase. Le Seigneur lui apparut d’abord et lui dit : « Je vais te montrer avec quelle gloire l’évêque entre au paradis parce qu’il a donné l’approbation au premier Sanctuaire de l’Amour Miséricordieux. » Puis le Seigneur disparut et apparut l’évêque dans son corps glorieux. L’évêque lui dit : « Madre Speranza, le Seigneur m’a envoyé vers toi pour te remercier : tu m’as appelé à donner l’approbation au Sanctuaire et le Seigneur en a été très content. Maintenant j’aurai pour l’éternité la gloire du Paradis. Mais je dois te dire qu’avant d’entrer au Paradis j’ai beaucoup souffert au Purgatoire. » La Mère répondit : « Excellence, vous êtes mort hier à Rome ; pourquoi dites-vous avoir tant souffert alors que seulement deux jours se sont écoulés ? » L’évêque répondit : « Le temps de l’au-delà n’est pas le même que celui de la Terre. J’ai beaucoup plus souffert en ces deux jours de Purgatoire que durant quatre-vingts ans de ma vie terrestre, car, quand on meurt, l’âme se présente devant Dieu et, en présence de Dieu, elle ressent une grande honte pour la conduite qu’elle a eue en négligeant le Seigneur. Dites à tous que l’au-delà existe et que, sur la Terre, la chose la plus importante est d’aimer le Seigneur ; tout le reste n’a pas de valeur. » Que ce récit rappelle l’importance de prier pour les défunts, svp. #madresperanza

About